Il y a quelques jours, Jean-Jacques Killian est parti.
C'était un ami, un géant bourré de gentillesse, de talent, de culture, hypersensible au monde. Hypersensible tout court.
Il laisse un grand vide, creusant encore un peu plus celui laissé par tous ceux que cette fichue 2007 a emporté (on va parler que de 2007, pas vrai ? elle se suffit à elle-même, cette salope).
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